L'exposant

Numero 1 002

(huile sur panneau en bois intitulée: " AU PRINTEMPS. Fagne Saint Remacle" datée de 1934. (35 cm sur 30 cm. Collection privée) Ce paysage est dédié à l'aide d'une plaquette de cuivre à :" Christiane en l'honneur de sa première communion. 15 mai 1938" (ndlr: "Christiane n'a pas été définie ou retrouvée en l'état et demeure donc inconnue.)

 

 

" Edgard D'Hont recherche les cours de banlieues tranquilles, les villages paisibles et sauvages, les chaumières penchées comme des petites vieilles et, comme elles, pleines de légendes et de beauté..."

Journal de Liège (1913)

Numero 1 001

( huile sur panneau de bois intitulée : " Un coin de la Vesdre..." ) ( 31cm sur 25 cm. Collection privée)

"Voilà pourquoi dans ce nouvel ensemble d'Edgard D'Hont, tout est si posé et souriant...Ce sont les heures claires d'une vie calme qui se déroule quiètement dans la paisible demeure au long d'un ru où se penche le vieux saule..."

M. Kunel dans "La Meuse" ( 1933)

 
Numero 1 003

(huile sur panneau en bois intitulée :" L'éclaircie...") ( 23 cm sur 18 cm. Collection privée)

 

" Monsieur Edgard D'Hont fait certainement commerce avec "Chantecler" car il apparaît comme le chantre de la lumière, de la chaleur, de la couleur... Ses paysages sont des végétations luxuriantes, des lointains clairs et des feuillages généralement transparents..."

Jules Destrée.

Ebay allemand

(Huile proposée à la vente avec succès sur E-bay Deutschland en 2015)

 

" Edgard D'Hont affectionne ces vieilles masures qui sont un des caractères du paysage de nos contrées. Tout respire chez lui un lyrisme et un amour de ses terres, de ses eaux, de ses ciels et de ses soleils..."

"La Critique" (1936)

P1010072

 ( huile intitulée :" Bois d'Embourg. Haut du Thiers") ( 20 cm sur 26cm. Collection privée.) L'endroit exact a été arasé et n'est donc plus accessible)

" Avec modestie, Edgard D'Hont est l'humble témoin d'une magnificence qui se suffit à elle-même...Ses teintes sont si séduisantes, les coloris si charmeurs qu'ils défient toute critique..."

Extrait de la "Chronique Maastrichtoise" signée E.V.

journal "La Meuse" ( 1907)

 
D hont michel coryn 014

(huile sur panneau de bois intitulée : " Le pré des saules. Vaux-sous-Chèvremont") (49cm sur 38cm. Collection privée)

 

" Edgard D'Hont fait fi des procédés d'école avancées ou des formules du dernier bateau...Son art est simple et foncièrement honnête. Une mise en page soignée et la finesse des nuances concourent à créer de poétiques ambiances..."

José Gers dans le "Journal de Liège" (1906)

D hont michel coryn 008

  ( Huile sur toile intitulée: "Mare à Beaufays") ( 55cm sur 46cm. Collection privée) La localisation exacte n'a pu être déterminée.

 

" La peinture d'Edgard D'Hont, tout comme une femme, aime à cacher son âge. Il fut un des premiers, avant Heintz, à traiter le paysage en Wallonie...On se laisserait prendre à l'apparence tant il reste jeune avec cette fraîcheur qui semble n'habiter que les coeurs vierges encore..."

M. Kunel dans le "Journal de Liège" (1924)

Etang 001

 (Huile sur carton toilé dépourvue de titre ou annotation) (23cm sur 32 cm. Collection privée)

" Fidèle à sa manière, fidèle à lui-même, Edgard D'Hont nous traduit des paysages en amoureux de la nature admis dans son intimité. D'un coin d'étang, il sait tirer des effets émouvants. Il nous révèle sa sensibilité compréhensive..."

José Gers dans "Le Journal de Liège"

 
Berger 005

   (Huile sur panneau de bois intitulée: "Paysage, sentier arboré") ( 20cm sur 14 cm. Collection privée)

" Edgard D'Hont évoque tout ce qui fait que la minute où nous sommes se différencie de la minute qui l'a précédée. Sans mièvrerie, il exprime les prestiges de la nature sous le coup d'un enthousiasme silencieux, et au moment précis où elle parle à l'artiste un langage qu'il est seul à pouvoir traduire aux autres hommes..."

"L'Express" (1903)

 
 
Berger 001

    (huile sur toile intitulée:"Après la pluie...") (59cm sur 42,5 cm. Collection privée)

 

" Chez D'Hont, la prairie sourit au soleil, le soir tranquille s'étend sur la vallée, les éléments se font des grâces...La vieille terre n'est plus que calme et sérénité. Elle attend les bergers et les bergères à panier qui, à l'ombre des chênes s'assoient sur le gazon ratissé..."

Jules Bosmant , critique d'art.